Cet article-là, ça fait longtemps qu’on l’avait dans nos cartons (oui, on a fait un jeu de mots, c’est voulu).
Et ce n’est pas par paresse ou parce qu’on manquait d’inspiration ; non, comme d’habitude, on tenait à avoir le témoignage de quelqu’un.
Malheureusement, pendant très longtemps, on n’avait personne sous le coude susceptible de connaître une mutation professionnelle…
Et comme chacun le sait (ou ne l’ignorera plus très longtemps) : une mutation professionnelle, ça se prépare, surtout quand on part s’installer à l’autre bout de la France.
Heureusement, on a récemment fait la connaissance de Christophe Pillier 🙌
Christophe travaille dans un grand groupe sur Bordeaux, et fin juin, il s’est vu offrir une belle opportunité à Strasbourg.
Problème : le poste est à prendre début septembre, et entre les vacances d’été, les dossiers à plier et la maison à vendre, le timing est un poil compliqué…
Mutation professionnelle : comment déménager sans (trop) de casse ?
Direction les Chartrons, où Christophe nous accueille chez lui, une jolie maison de maître qui a rapidement trouvé preneur auprès d’un couple de Parisiens. Christophe nous salue, s’excuse : il y a des cartons partout et quelques petits travaux en cours, mais qu’importe, nous ne sommes pas là pour inspecter la poussière.
« Autant la maison est partie très vite, autant je n’ai pas encore trouvé sur Strasbourg », nous confie-t-il avec une pointe de dépit. « Il n’y a pas énormément de biens dans les critères que je recherche, c’est compliqué, on voit que l’effet COVID est passé par là. Du coup, je pense qu’on va louer en attendant que ça se décante ».
Quand on vous disait qu’une mutation professionnelle ne s’improvise pas… Surtout en ce moment, avec une ruée vers les habitations secondaires et les maisons à la campagne, sans compter les taux historiquement bas, mais… qu’importe, nous ne sommes pas là pour parler immobilier.
On demande d’abord à Christophe comment ça se passe, la mutation : « Ça va, ce n’est pas la première » dit-il dans un haussement d’épaules. « Mon épouse et moi étions originaires de Lyon, on est à Bordeaux depuis 2013. À l’époque, je suis venu ici suite à une promotion, je ne connaissais absolument pas la Gironde, pas plus que ma conjointe d’ailleurs. Elle a dû abandonner son travail de RH dans une entreprise immobilière, mais heureusement, elle a bénéficié d’un accompagnement à la recherche d’emploi avec un cabinet de conseil, ça a été pris en charge par mon employeur, et je crois que ça va encore se boutiquer comme ça cette fois-ci ».
On ne manquera pas d’ajouter que, là-dessus, il est important de susciter l’adhésion de son entourage familial. Des histoires de couples qui volent en éclats à cause d’une mutation professionnelle, on en a déjà entendu deux ou trois, ce que confirme Christophe : « Oui, c’est arrivé à un ancien collaborateur. Il s’est reconverti dans un autre métier et a trouvé du travail à Nantes, sa conjointe avait toutes ses attaches dans le Nord. Ils se sont séparés ».
Mais venons-en plutôt au vif du sujet : comment s’est organisé Christophe pour son déménagement ? Surtout en sachant qu’il n’a pas encore trouvé de nouveau bien à acheter ?
« J’avoue que c’est un peu la cata » nous dit-il sans se départir de son éternel sourire. « À vue de nez, on est bien parti pour louer, et plus petit de surcroît. On va donc se retrouver avec tout un tas de choses qui risquent de ne pas rentrer dans notre futur logement… »
À ce stade de notre interview, on ne lui dit pas que la solution est évidente : JeVide.fr. Non, nous ne sommes pas là pour faire du prosélytisme…
Mais on le lui fait remarquer quand même.
« Eh oui, c’est vrai ! » s’exclame-t-il après quelques rires. « Et vous tombez à pic, comme dirait l’autre, car j’étais bien parti pour faire appel à une société de débarras. Mon épouse en a même contacté plusieurs, on a fait faire plusieurs devis… »
Comme on est curieux, on lui demande à combien ils s’élevaient.
« Le plus bas était à 1600€, le plus haut à 1900€, frais de déchetterie et recyclage compris » réfléchit Christophe. « Je dois avouer que je ne m’étais pas plus posé de questions que ça, j’allais opter pour le devis le plus bas. C’est aussi un peu le problème, quand on est pressé : le temps qu’on gagne, on le sacrifie en euros supplémentaires pour telle ou telle tâche ».
Pourquoi une entreprise de débarras ? N’avait-il pas pensé aux recycleries, aux associations d’économie circulaire ?
« J’avoue également que je n’y connais rien du tout là-dedans » dit-il avec un sourire coupable. « Je connais bien sûr l’économie circulaire, ce que c’est, ses bénéfices, mais je n’aurais jamais pensé à faire appel à une recyclerie ou à une association. Jeter des meubles ou des affaires à la déchèterie, ça, il en était hors de question. Je m’étais simplement dit qu’il serait plus facile de confier ça à des professionnels dont c’est le métier. Vu la situation, moins je m’occupe de choses, mieux c’est ».
Et comment trouve-t-il JeVide.fr ?
« Là aussi, les sites web, je n’y connais pas grand-chose » plaide-t-il. « L’interface est en tout cas très agréable, et c’est vrai qu’en moins de cinq minutes, mon annonce était prête. En fait, le plus long, ça a été de prendre les photos… Je vous remercie d’ailleurs pour la rapidité de diffusion, mon lot a vite trouvé preneur. Sans doute grâce au prix bas, n’est-ce pas ? »
On acquiesce.
C’est vrai que des armoires, une table, un bureau, une télé, plusieurs appareils électroménagers, le tout en bon état à 500€, on n’en trouve pas tous les jours.
Sauf sur JeVide.fr, peut-être 😉